María Paz Santibáñez a également amené le français Maurice Ohana, dont les plus grandes leçons n’ont pas été reçues des musiciens, mais de la mer, du vent, de la pluie, des arbres et de la lumière, comme l’a expliqué Juan Arturo Brennan dans le programme manuel. (Une partie du spectacle montre) des femmes dansant, une image artistique et la partie performative, comme le public mexicain a pu le voir, également avec les pots sur les cordes du piano, déchirant ou frottant parfois, frappant l’instrument de cuisine, de différentes tailles et couleurs.
Santibáñez est capable de rompre avec un certain stéréotype qui placerait le féminin dans une position de médiation et non pas vulgairement politique » (…)
« Cet événement et son annulation illustrent bien le fait que cette musique peut avoir une…